Cette formation se décline en 3 filières (Grandes Cultures et Environnement, Forêt et Environnement, Viticulture et Environnement). La formation comprend un projet tuteuré en entreprise (120h), une mission professionnelle en entreprise (4 à 5 mois minimum), de l’enseignement professionnalisant (180h) et de l’enseignement spécifique de filière (260h).

L’objectif de cette formation est de former des professionnels capables de coordonner une démarche de maîtrise énergétique et environnementale du bâtiment en plaçant l’enveloppe du bâtiment au cœur de la démarche.

Cette formation se décline en 2 filières (Commerce International des Bois et Dérivés, Commerce International des Vins et Spiritueux). La formation comprend un projet tuteuré en entreprise (120h), une mission professionnelle en entreprise (4 à 5 mois minimum), de l’enseignement professionnalisant (180h) et de l’enseignement spécifique de filière (260h).

L’objectif de cette formation est de professionnaliser les connaissances dans le domaine de l’environnement, en adéquation avec les souhaits des futurs employeurs. La licence professionnelle « Métiers de l’Eau » permet de consolider et d’approfondir des compétences déjà acquises à travers la mise en œuvre de projets fortement orientés vers le transfert de technologies et l’optimisation de procédés. Ces techniciens supérieurs seront capables d’assurer la conception, l’exploitation et le contrôle d’installation : de production d’eau de procédés et d’eau potable, de traitement des eaux usées, des effluents industriels, des effluents gazeux et des fumées, de dépollution des sols des sites

Cette licence professionnelle est destinée à former des spécialistes capables d’assurer l’élaboration, le management et le conduite de projets, de prévoir l’implantation, l’amélioration, la supervision et la maintenance des équipements (industriels, agricoles, éoliens), d’implanter les techniques avancées de maintenance, de mettre en œuvre les agroéquipements et de développer des compétences dans les domaines de la qualité, de la sécurité et de l’environnement.

La formation comprend un projet tuteuré en entreprise (120h), une mission professionnelle en entreprise (4 à 5 mois minimum), de l’enseignement professionnalisant (180h) et de l’enseignement spécifique de filière (260h).

L’objectif de cette formation est de préparer en un an des étudiants de divers horizons afin de leurs donner des bases solides en Productions Végétales et Industries Agroalimentaires pour qu’ils puissent ensuite intégrer le Master spécialité PVIA. Le parcours PVIA et le Master PVIA forment donc en 3 ans, des cadres pour les secteurs professionnels des Productions Végétales et des Industries Alimentaires.

Formation professionnalisante dans le domaine du management environnemental, de la gestion et de la valorisation des déchets et de l’énergie : technologies, outils juridiques et économiques liés au traitement et à la valorisation énergétique des déchets, conduite de projets, bilan carbone, analyse de cycle de vie, éco-conception.

Le M2 SQHE a pour objectif la formation de cadres possédant des compétences scientifiques et techniques dans l’identification, l’analyse et la gestion des risques, la mise en place de procédures qualité et des compétences managériales au service de l’application des politiques de sécurité de qualité environnementale et de développement durable. Cela comprend entre autres la mise en place et le renouvellement des certifications (ISO14001, ISO22000, OHSAS18001…).

Forme des cadres en agro-alimentaire appelés à prendre complètement en charge les projets de recherche et de développement de l’entreprise. Le champ d’action très large s’étend de la conception d’un nouveau produit alimentaire à l’élaboration des cahiers des charges des différents ingrédients, à la formulation puis au transfert à l’échelle industrielle. Ceci impose de donner aux futurs cadres des compétences et savoir-faire dans des domaines très variés allant de la connaissance des matières premières à la maîtrise des procédés technologiques, de l’analyse structurale par des méthodes rapides (spectroscopies infrarouge et de fluorescence,…) à l’analyse macroscopique (rhéologie, analyse sensorielle,…) en incluant les facteurs économiques et les circuits de distribution.