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Coup de projecteur sur nos nouveaux adhérents !

C’est avec engagement que le pôle IAR a accueilli depuis mai dernier 12 nouveaux adhérents dans son écosystème d’innovation. La parole à nos nouveaux adhérents !

La parole à…
Dr Anne-Laure Morel, Fondatrice, Directrice Générale, Coordinatrice de recherche de Torskal :

« Lors de la visite de la délégation du pôle IAR à La Réunion, j’ai eu le plaisir de rencontrer quelques grands acteurs publics de la phytochimie et des industriels des ingrédients en chimie fine. J’ai très rapidement compris que notre vision entrepreneuriale et nos valeurs étaient partagées par le pôle IAR : l’engagement, l’innovation, le dynamisme. J’ai constaté de nombreuses collaborations entre grands groupes, startups et laboratoires publics, indispensables à l’émergence des solutions innovantes en réponse aux attentes sociétales. La grande expérience du pôle IAR permettrait de faciliter la mise sur le marché des produits d’une jeune entreprise en évitant les écueils. Par ailleurs, nous souhaitons poursuivre nos développements en santé pour atteindre les essais cliniques de phase 1 chez l’homme en 2021. Nous espérons pouvoir bénéficier d’un soutien au travers du réseau pour notre levée de fonds, mise en relation, orientation vers des experts. »

 

 

A propos de Toskal :

Torskal est une société de nanomédecine, pionnière en green nanomédecine pour le développement de nouveaux anticancéreux sous forme de nanoparticules. La société localisée dans l’océan indien, à La Réunion, synthétise des nanoparticules par chimie verte, en ayant recours à des plantes médicinales inscrites à la pharmacopée française, en substitution des produits chimiques synthétiques. Deux domaines d’activités stratégiques structurent les programmes R&D, en partenariat avec des laboratoires publics européens et chinois. La principale activité en santé concerne le développement de nanothéranostics qui présentent la double fonction diagnostique et thérapeutique. Les indications thérapeutiques sont réparties en deux catégories selon le mode d’irradiation : cancer de la peau, de surface et accessibles par chirurgie, et cancers profonds. La société offre aussi en prestation de service la vectorisation de principes actifs par les nanomatériaux.

La deuxième activité exploite le même brevet en chimie fine pour le développement de nouveaux nanomatériaux pour la cosmétique (ingrédients cosmétiques) et la chimie fine (peinture). Les contrats couvrent tant la recherche fondamentale que le développement industriel.

Enfin, Torskal s’implique plus largement dans la création d’une alliance sinoeuropéenne pour contribuer à modifier l’approche scientifique de traitement du cancer.

 

La parole à…
Jürgen Engerisser, Co-fondateur, Directeur commercial et innovation de Pleurette :

« Pleurette est née du souhait d’agir concrètement pour un monde durable et résolument innovant. Nos activités découlent directement de l’économie circulaire où résidus urbains, déchets et flux sont valorisés et nous apportent de nouvelles ressources, qu’elles soient agricoles, alimentaires ou énergétiques. Adhérer au pôle IAR, c’est renforcer notre ancrage dans la sphère de la bioéconomie et affirmer notre volonté d’innover en synergie avec les différents acteurs. Nous souhaitons développer de nouveaux partenariats pour poursuivre nos recherches, travailler de façon collaborative et répondre aux challenges de demain ! »

 

A propos de Pleurette :

Pleurette est une start-up multifacette de l’agri food, incubée par Euralimentaire et située sur le Marche d’Intérêt National de la métropole lilloise. Elle produit des champignons frais et bio, principalement pleurotes et shiitakes, dans d’anciennes carrières souterraines de pierres et dans des containers maritimes réaménagés. Elle valorise les résidus urbains : drêches de brasserie et marc de café, récoltés auprès de partenaires locaux, en substrats à champignons et recycle les cœurs de pleurotes non commercialisables en les incorporant à des recettes végétariennes. Elle créée une rupture en utilisant un nouveau texturant alimentaire propre et durable dans les solutions végétales. Elle formule notamment des burgers et boulettes, premières mondiales sur le marché. Ainsi, leurs activités se situent à la croisée de l’agriculture urbaine, de l’économie circulaire et de l’agroalimentaire et répondent à différents problématiques :

  • Les déchets : elle valorise les cœurs de pleurote (15 à 20% de la production européenne de pleurotes soit 5000 tonnes en bio, 30000 tonnes en conventionnel) pour remplacer la viande ;
  • L’environnement : la culture du champignon dont est issu leur coproduit dépense 250 fois moins d’eau que la viande, ne monopolise pas et ne pollue pas de terre arable ;
  • La transparence et la relocalisation de la production agroalimentaire : leur agriculture est locale, leur production est « made in France »,
  • La santé : les champignons sont riches en fibres, minéraux, antioxydants, vitamine (et notamment vitamine D) et pauvres en graisses ;
  • La transparence et la relocalisation de la production agroalimentaire : leur agriculture est locale, leur production est « made in France » et vient s’intégrer aux filières déjà en place ;
  • Par la suite : l’énergie, en fabriquant une énergie verte, issue de la méthanisation de leurs ballots de leurs substrats de culture de champignons.

 

La parole à…
Santamaria Fabrice, Responsable Développement National de Unikalo :

« Depuis toujours, Unikalo se démarque par une stratégie d’innovation pour le respect de l’environnement.
Unikalo conçoit, développe et fabrique des peintures en France répondant aux exigences techniques et économiques du marché dans le respect des réglementations en vigueur.
Depuis toujours attachés à réduire son impact environnemental, c’est au-delà de ces réglementations que nous fixons nos objectifs de conception et de fabrication.
ISO 14001, ISO 16000, NF Environnement, Zone Verte Excell®, démarche habitat durable, système Kob, peintures bio-sourcées Naé sont autant d’indicateurs qui prouvent notre engagement volontaire au quotidien et ce, pour les générations futures.
C’est pour toutes ces raisons qu’Unikalo souhaite partager son, expertise avec le pôle de compétence IAR et  contribuer au nouveau modèle d’économie circulaire ».

A propos de Unikalo :

Unikalo, fabricant français indépendant leader en fabrication et distribution de peintures en bâtiment.
Depuis 1936, Unikalo est basée dans la région Nouvelle Aquitaine, une usine de fabrication sur Mérignac (33) dont un laboratoire R&D (20 personnes) et prochainement une deuxième sur Cestas (33). Unikalo commerciale leurs peintures, au travers un réseau de distribution spécialisé (NUANCES UNIKALO) comptant plus de 150 magasins en France et distributeurs indépendants (60 magasins). Unikalo emploie aujourd’hui 220 collaborateurs et 500 collaborateurs sur le réseau de distribution Nuances Unikalo. Le réseau s’impose comme le partenaire de référence des professionnels du bâtiment.

 

La parole à…
Arnaud TERNINCK, Responsable Développement de Copalis :

« L’écosystème du pôle IAR dispose d’un grand nombre d’acteurs de qualité et surtout d’expertises complémentaires répondant à notre axe stratégique de diversification de marchés. En rejoignant le Pôle, nous pourrons intensifier nos partenariats avec des industriels et des équipes de recherche sur de nouvelles applications recherchées comme la nutrition du végétal, les biostimulants organiques, …. Nous sommes conscients que les enjeux d’innovation de demain en matière de bioéconomie nécessitent de poursuivre notre stratégie de R&D collaborative : participation aux animations de networking, projets collaboratifs, échanges d’expériences, mutualisation de moyens, prestations… L’innovation et la recherche sont de réels facteurs clés de succès dans la croissance et la valeur de notre activité. »  

A propos de Copalis :

Installée au cœur de la ressource à Boulogne-sur-Mer,1er centre européen de transformation des produits de la mer, COPALIS est un acteur majeur de la valorisation des coproduits marins.

Créée en 1960, Copalis est devenue fournisseur mondial d’ingrédients marins naturels à destination des marchés de la nutrition animale, des compléments alimentaires, de la cosmétique et de l’agroalimentaire.

Copalis est aujourd’hui le leader mondial de la production d’hydrolysats de protéines de poisson, commercialisés sous la marque CPSP® et destinés à la nutrition des jeunes animaux.

Fort de cette expérience unique dans les techniques d’hydrolyse enzymatique, Copalis propose désormais des ingrédients innovants dédiés aux applications cosmétiques et nutritionnelles: cartilage marins, collagène pour la beauté de la peau, peptides marins anti-stress, régulateur de l’index glycémique, antihypertenseur, etc.

Plus récemment, Copalis a souhaité encore diversifier ses activités en intégrant les coproduits de poisson dits premium appelés chutes de confection, à destination de l’agroalimentaire.

COPALIS dispose ainsi d’un savoir-faire réel dans le domaine de l’extraction, de la purification et de la production d’ingrédients marins destinés au marché de l’alimentation animale, de l’alimentation humaine, de la nutraceutique et de la cosmétique.

Son équipe de recherche, son laboratoire d’analyses et ses équipements pilote permettent également de mettre au point des procédés à façon et de les valider à l’échelle industrielle.

COPALIS est fortement orientée vers la recherche et développement en biotechnologie et participe régulièrement à des programmes de recherche au sein d’équipes pluridisciplinaires, ce qui pousse la croissance et la valeur de son activité.

 

La parole à…
Nathalie  Fichaux, Directrice d’InterChanvre :

« Notre adhésion au pôle IAR est motivée par trois ambitions :

  • Mieux connaitre les acteurs de l’innovation
  • Mieux comprendre les marchés à l’international
  • Apporter de la visibilité à la filière chanvre

Nous faisons confiance au Pôle pour la réussite de ces ambitions. »

 

 

 

 

 

 

A propos d’Interchanvre :

Créé en 2003, InterChanvre est l’interprofession de la filière française du chanvre. Elle est composée d’un collège de 6 producteurs de la FNPC (Fédération Nationale des Producteurs de Chanvre) et de 6 industriels de l’UTC (Union des Transformateurs du Chanvre). C’est également un partenaire très impliqué de l’association Construire en Chanvre.

Le chanvre est une culture industrielle avec un taux maximal de 0,2% de THC (substance psychotrope). Cultivé d’avril à septembre sans traitement phytopharmaceutique, la production française de chanvre en 2018 représentait 17 000 ha et 100 000 t de paille. Ses principaux débouchés sont le bâtiment, l’industrie automobile, l’alimentation, le textile…

La stratégie filière est formalisée de le Plan filière Chanvre téléchargeable sur le site du ministère de l’agriculture.

Les missions d’InterChanvre :

  • Fédérer les acteurs de la filière
  • Assurer la représentation du secteur auprès des instances techniques, économiques et politiques pour défendre la filière et ses acteurs
  • Favoriser les actions de recherche scientifiques et techniques
  • Promouvoir les qualités environnementales du chanvre, de la filière et de ses marchés

Une culture écologique, économique et éco-responsable :

Le chanvre représente un véritable avantage écologique car ce végétal ne nécessite pas de produits phytosanitaires et donc pas d’intervention entre le semis en avril et la récolte en automne. Un hectare de chanvre stocke autant de CO2 qu’un hectare de forêt. Cette plante, à la fois résistante et couvrante, permet également de rompre les cycles de maladies et étouffe les mauvaises herbes.

Les économies d’énergie dans le bâtiment grâce aux performances isolantes hors paires ou dans le secteur automobile grâce à l’allègement de 20% des pièces en plastique de chanvre sont considérables.

L’éco-responsabilité repose sur la filière 100% française depuis la création variétale jusqu’aux produits finis. Tout le process mécanique n’utilise aucun traitement chimique.

 

La parole à…
Martine Mack, Directrice générale de R-GDS :

« Il est impératif pour l’acteur local de l’énergie qu’est R-GDS de multiplier les échanges et les synergies avec d’autres acteurs innovants présents sur son territoire, dans une logique d’écosystème et de fertilisation croisée. La transition énergétique nous met au défi d’inventer un nouveau modèle local fondé sur l’efficacité énergétique et sur l’utilisation circulaire des ressources. Cela exige une grande agilité et une attention permanente aux innovations et aux technologies émergentes. Pour nous les acteurs de la bioéconomie détiennent les clés d’une valorisation toujours plus efficiente de la biomasse en énergie verte, qui est l’un de nos enjeux stratégiques. Nous adhérons donc au Pôle IAR avec un vif enthousiasme et avec la volonté d’y jouer un rôle de catalyseur de nouveaux projets. »

 

 

 

A propos de R-GDS :

La société d’économie mixte R-GDS est l’opérateur du réseau de gaz naturel à Strasbourg et dans 119 communes du Bas-Rhin, qui achemine chaque année 5 milliards de kWh de gaz naturel vers près de 110 000 clients. En diversifiant ses activités par le biais de filiales dédiées notamment aux réseaux de chaleur bas-carbone, R-GDS s’affirme aujourd’hui comme un acteur à part entière de la transition énergétique de son territoire.

En 2015, R-GDS était le premier opérateur de réseau de gaz naturel à injecter du gaz renouvelable produit à partir d’eaux usées urbaines. Le développement du biométhane (gaz renouvelable produit à partir de ressources locales) constitue une priorité pour R-GDS qui ambitionne de devenir l’opérateur du réseau de distribution de gaz le plus vert de France. Sa filiale R-CUA, qui exploite à ce jour 18 réseaux de chaleur bas-carbone en Alsace, dont 14 sur le territoire de l’Eurométropole de Strasbourg, joue également un rôle clé dans la stratégie de transition énergétique du groupe.

En mettant en œuvre une politique volontariste d’investissements et d’innovation, le groupe R-GDS veut apporter une contribution déterminante à un modèle local de l’énergie sobre en carbone, efficient et citoyen. En 2019, R-GDS a conclu une joint-venture inédite avec une start-up du Grand Est, Haffner Energy, pour construire à Strasbourg le premier site industriel de production d’hydrogène vert utilisant la technologie de thermolyse de la biomasse.

Le groupe R-GDS réalise aujourd’hui un chiffre d’affaires de 83 millions d’euros et emploie près de 300 salariés.

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