Ÿnsect, la première entreprise au monde à obtenir l’approbation du marché pour un engrais à base d’insectes
Ÿnsect est le coordinateur du projet BBI JU FARMŸNG, qui rassemble 20 acteurs clés de la bioéconomie, couvrant chaque maillon de la chaîne de valeur.
Ÿnsect vient d’obtenir l’agrément de son engrais naturel à base d’insectes «ŸnFrass» délivré par l’Anses, l’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail. Ÿnsect devient ainsi la première entreprise au monde à obtenir la certification et l’approbation de commercialisation d’un engrais naturel à base d’insectes. L’engrais est dérivé des déchets d’insectes – ou excréments – du ver de farine Tenebrio Molitor qui se nourrit de sous-produits céréaliers dans l’usine d’Ÿnsect à Dole (France).
Les produits ŸnFrass sont universels, professionnels ou orientés vers le consommateur, et destinés à tous types de cultures: culture de fruits et légumes, vinification, prairies, pelouses et jardins, fleurs ornementales, grandes cultures et notamment maïs, colza et blé. Ÿnfrass sera également produit dans l’usine FARMŸNG.
A propos D’Ÿnsect :
Ÿnsect est une jeune entreprise française leader mondial dans l’élevage d’insectes et leur transformation en ingrédients premium à forte valeur ajoutée. Créée en 2011, Ÿnsect vise à faire des insectes une ressource majeure et de grande qualité pour l’alimentation des animaux domestiques, des poissons et des plantes, comme les protéines ŸnMeal qui présentent de hautes qualités nutritives et des bénéfices santé, avec un outil industriel performant et respectueux des écosystèmes. Alors que la demande mondiale de protéines est en forte croissance, Ÿnsect apporte ainsi une solution naturelle et durable. Ÿnsect met en œuvre une technologie propriétaire innovante, protégée par 25 brevets, pour développer des Fermilières®, fermes verticales permettant d’élever le Molitor avec un faible impact de surface. Avec plus de 175 millions de dollars levés depuis sa création, Ÿnsect emploie 105 collaborateurs en France, fait fonctionner un pilote en France depuis 2016, où la technologie a été développée, et pose les premiers jalons de son développement international.