Créé il y a plus de 100 ans pour financer les Sociétés Coopératives de Production, le Crédit Coopératif finance le marché des entreprises et des institutionnels qui s’inscrivent dans le cadre de ses exigences éthiques et sociétales.
« Le Crédit Coopératif est une banque coopérative dont tous les clients sont sociétaires » explique Guillaume Rabaste, responsable clientèle entreprises pour les régions Hauts-de-France, Grand-Est et Centre-Val de Loire. « Nous nous définissons comme une banque éthique et nous tenons à être transparents sur les circuits de notre argent. Ce sont les principes fondamentaux de notre activité bancaire. »
Le Crédit Coopératif a récemment rejoint le réseau des adhérents du Pôle IAR. « Parce que les valeurs portées par les acteurs de la bioéconomie correspondent aux nôtres. Nous voulons être la banque qui accompagne les transitions. Les transitions industrielles, énergétiques, écologiques, digitales, sociales… »
Concrètement, le Crédit Coopératif est le partenaire bancaire de rev3, la Troisième révolution industrielle en Hauts-de-France. « Nous proposons à nos sociétaires une épargne à un taux attractif, qui permet le financement de projets s’inscrivant dans la dynamique rev3. »
Ainsi, les citoyens des Hauts-de-France contribuent concrètement au développement et à la création d’emplois dans leur région, en finançant des projets liés :
- à l’efficacité énergétique,
- aux énergies renouvelables,
- aux bâtiments producteurs d’énergie
- au stockage de l’énergie,
- aux réseaux pilotés ou intelligents,
- aux innovations dans la mobilité douce…
« Notre enveloppe avoisine les 50 millions d’euros » poursuit Guillaume Rabaste.
La banque propose également une solution complémentaire de financement des entreprises et des associations : le prêt Choisir son impact. « Le principe est simple : nous accordons une réduction du taux d’intérêt si les objectifs d’amélioration du bilan social et environnemental de l’emprunteur, fixés lors de la contractualisation du prêt, sont atteints. C’est une mesure incitative concrète. Le montant de cet emprunt varie de 700 000 à 5 millions d’euros. »
Ces solutions de financement sont d’ores et déjà accessibles aux membres du réseau IAR. « En adhérant au Pôle, nous enrichissons notre connaissance du secteur et des acteurs de la bioéconomie. Nous pourrons donc mieux comprendre leurs problématiques, et concevoir des solutions bancaires adaptées à leurs besoins. » conclut Guillaume Rabaste.